Faut-il modifier son Kbis pour ajouter une activité de click & collect

26/06/2025

Le Kbis en bref : pourquoi son exactitude est cruciale

En tant qu’entrepreneuse, j’ai vite compris que le Kbis est bien plus qu’un simple document administratif pour la France. Il s’agit de la véritable carte d’identité de votre entreprise inscrite au Registre du commerce et des sociétés (RCS). Lorsqu’on effectue des démarches pour ouvrir un commerce physique ou online, c’est sur la base du Kbis que les banques, les fournisseurs et parfois même les clients vérifient la légitimité de votre structure. Dans certains cas, de nouvelles activités – comme le click & collect – peuvent être exercées sans modification, mais, très souvent, il devient nécessaire d’ajuster les informations officielles pour éviter tout risque de non-conformité.

Le commerce innovant nous pousse à diversifier progressivement nos offres. Au début de mes aventures entrepreneuriales, je ne pensais jamais proposer d’options en ligne pour mes boutiques. Puis j’ai réalisé que la frontière entre le commerce « physique » et la vente « digitale » devenait floue. Le click & collect a émergé comme un canal phare, permettant d’acheter en ligne et de récupérer les produits en magasin. Cette évolution a un impact potentiel sur la nature même de l’activité déclarée. Il est donc important de s’assurer que le Kbis reflète parfaitement la réalité de l’entreprise et de ses activités. Dans cet article, nous allons voir si, oui ou non, il faut passer par une modification de votre Kbis, et comment procéder si vous faites ce choix.

Pourquoi envisager d’ajouter explicitement le click & collect

Le click & collect s’est progressivement imposé comme un pilier pour de nombreux commerçants. D’après certaines études, plus de 30 % des consommateurs français ont déjà utilisé ce service, un pourcentage qui continue d’augmenter rapidement. Dans de nombreuses boutiques que j’ai pu accompagner, la mise en place d’un système de click & collect a immédiatement dopé le trafic en point de vente et permis d’accroître le chiffre d’affaires en ligne. Mais dans le même temps, j’ai constaté que ces nouveaux services soulèvent des questions juridiques et administratives que l’on a parfois tendance à sous-estimer.

Avoir un Kbis à jour est essentiel pour obtenir la confiance des partenaires, et cela inclut l’ajout d’activités nouvelles si elles sont significatives. En pratique, le click & collect s’inscrit souvent dans le cadre d’une activité de vente en ligne, qui peut nécessiter une mention spécifique dans l’objet social de la société, selon la façon dont l’entreprise structure sa vente et sa logistique. Certes, vous pouvez plus ou moins « tester » le click & collect sans immédiatement déclarer un nouveau code APE. Cependant, en cas de contrôle ou de litige, vous risquez quelques désagréments si l’activité réelle de votre entreprise n’est pas clairement mentionnée. C’est pourquoi il convient de déterminer si l’ajout de cette mention est indispensable.

Comprendre la notion d’objet social et son impact sur le Kbis

Le « Kbis » est le document officiel qui reprend, entre autres, l’objet social de votre société. L’objet social indique les activités exercées, y compris celles qui ont vocation à se développer dans un cadre secondaire. Si votre objet social vise déjà la vente de biens et ne limite pas l’entreprise à un canal unique (par exemple, la vente physique uniquement), vous n’aurez peut-être pas l’obligation de demander une modification de votre Kbis. Dans ce cas, le click & collect serait intégré dans le prolongement naturel de votre activité de vente.

En revanche, si votre objet social est précisé de manière très restrictive (par exemple, « vente au détail de prêt-à-porter dans une boutique physique »), l’ajout d’un canal de vente à distance (tel que le click & collect) peut nécessiter une mise à jour. Cela prend parfois la forme d’une Assemblée Générale Extraordinaire (selon les statuts de la société) puis d’un dépôt d’un dossier de modification auprès du Tribunal de commerce. Cela implique également de porter la mention de la nouvelle activité dans le cadre de l’inscription RCS, de sorte qu’elle soit visible sur le Kbis actualisé.

Les signaux qui indiquent une nécessité de modification

En toute logique, vous devriez vérifier vos statuts avant de déployer toute nouvelle activité. Voici les signaux montrant que vous devez très probablement procéder à une modification :

  • Votre objet social est rédigé de manière trop verrouillée, sans référence à la vente en ligne ou au service de retrait.
  • Votre chiffre d’affaires commence à se générer largement grâce à ce nouveau canal, dépassant ainsi un simple test ponctuel.
  • Vous avez besoin de convaincre des partenaires (banques, investisseurs) que votre société se diversifie réellement dans le numérique.
  • Vous craignez que le manque de transparence puisse vous porter préjudice en cas de litige ou d’inspection.

Quand j’ai accompagné des commerçants dans cette démarche, certains pensaient qu’il suffisait de « verbaliser » l’ajout du click & collect à leurs collaborateurs. Mais dans le monde juridique, ce qui compte, c’est l’inscription et la mise à jour des documents officiels pour prouver l’existence et la légalité de l’activité. Cette formalité peut sembler un fardeau, mais elle sécurise votre développement et, le cas échéant, elle prouve votre professionnalisme aux yeux de votre écosystème.

Le cadre légal et les obligations administratives

Techniquement, la modification de l'objet social et, par répercussion, du Kbis, se fait via une annonce légale et un dépôt de dossier au greffe compétent. Ce type de démarche entraîne des coûts qui peuvent varier (annonce légale : environ 150 € à 200 €, droits de greffe : environ 80 €), mais ces chiffres sont susceptibles d’être révisés selon la législation en vigueur. Parfois, la procédure peut être effectuée intégralement en ligne via le site Infogreffe, ce qui facilite grandement le processus.

Dans la pratique, tout dépend aussi de la structure juridique : pour une SARL, toute modification de l’objet social implique une décision collective extraordinaire, alors que pour une micro-entreprise ou un auto-entrepreneur, il s’agira plutôt de mettre à jour ses informations auprès de la CCI ou de l’URSSAF. Dans tous les cas, être accompagné d’un expert-comptable ou d’un avocat peut éviter les erreurs dans la rédaction de la nouvelle mention d’activité. Lorsque j’ai fait mes premières modifications statutaires, j’ai moi-même sollicité un professionnel car j’avais tendance à omettre des tournures juridiques importantes, ce qui aurait pu me retarder.

Cas pratiques : quand l’ajout du click & collect devient évident

Dans les boutiques que j’ai ouvertes au fil des années, j’ai rencontré plusieurs cas concrets. Par exemple, un concept store spécialisé dans les cosmétiques naturels souhaitait proposer le retrait en magasin des commandes passées sur son site. Lors de la création de son entité, la gérante avait prévu dans l’objet social « la commercialisation de produits cosmétiques, par tous moyens, y compris la vente à distance et la vente en magasin ». Dans ce cas, aucune modification n’était nécessaire. Le Kbis permettait déjà de rendre compte de la vente multicanale, et le click & collect s’inscrivait dans la continuité de cette activité.

À l’inverse, un autre entrepreneur, qui avait démarré avec un salon de thé et proposé uniquement de la consommation sur place, s’est mis à proposer la commande en ligne de pâtisseries et la récupération à emporter. Son objet social mentionnait « l’exploitation d’un salon de thé dans un local, consommation sur site ». Là, l’ajout d’une activité de vente en ligne et de click & collect demandait une extension de l’objet social. Il a donc fallu convoquer les associés, acter la modification et passer par la case greffe. Cela paraît parfois bureaucratique, mais c’est la garantie de la cohérence entre votre activité réelle et vos documents officiels.

Les avantages à mettre à jour son Kbis

Une question revient souvent lorsque je discute avec mes pairs : « si mon Kbis n’est pas à jour, quel est le vrai risque ? ». Clairement, l’absence de correspondance entre les activités déclarées et les activités réelles peut conduire à :

  1. Des problèmes de validité de certaines assurances, qui exigent que l’activité couverte soit déclarée.
  2. Une méfiance des organismes financiers et des partenaires, qui veulent savoir exactement ce que vous faites.
  3. Des difficultés en cas de contrôle de l’administration ou même d’un litige client si votre click & collect n’est pas reconnu officiellement.

Au-delà des risques, je constate aussi beaucoup d’avantages « positifs » à finalement mettre à jour votre Kbis. Vous valorisez l’image de votre commerce : vous apparaissez comme un acteur professionnel qui pense à tout, y compris à la conformité. Vous pouvez aussi plus facilement obtenir des partenariats, car le Kbis constitue bien souvent la pièce maîtresse de votre dossier. Enfin, cela vous permet de communiquer en toute transparence sur votre diversification, ce qui constitue un atout pour le marketing et la satisfaction clients.

Comment procéder pas à pas

En toute sincérité, la procédure n’est pas si lourde, même si elle peut prendre quelques semaines. Voici un déroulé possible :

Vérifier vos statuts existants. Avant tout, vous devez lire votre objet social pour voir s’il est suffisamment large pour inclure la vente à distance ou la vente par correspondance. Certaines clauses prévoient déjà l’évolution multicanale, ce qui vous évite toute modification.

Rédiger un projet de modification. Si vous avez conclu que l’activité click & collect dépasse l’objet social actuel, vous devrez rédiger un projet d’ajout ou de modification de l’objet dans vos statuts. Le mieux est de rester relativement large. Par exemple : « commercialisation de biens en boutique, en ligne, par correspondance ou par toute autre modalité permettant la distribution de produits, y compris le retrait en magasin ».

Enregistrer la décision en Assemblée Générale (ou équivalent). Dans une SARL ou SAS, vous devez convoquer une Assemblée Générale Extraordinaire pour valider officiellement le changement. Les modalités peuvent varier selon l’importance de la modification. Pour les entrepreneurs individuels, vous déposez simplement une modification de votre activité principale ou secondaire auprès du centre de formalités compétent.

Publier une annonce légale. Vous devez ensuite publier un avis de modification dans un journal d’annonces légales habilité. Les coûts varient mais tournent dans une fourchette de 150 € à 200 € selon le journal et la taille de l’annonce.

Déposer le dossier au greffe. Vous devrez joindre le procès-verbal de l’AGE, les statuts mis à jour, l’attestation de parution de l’annonce légale et le formulaire M2 (ou un équivalent) au greffe du Tribunal de commerce pour valider la procédure et obtenir le nouveau Kbis.

Un accompagnement d’expert pour ne rien oublier

Personnellement, lors de mes premières démarches de modification, j’ai préféré faire appel à un expert-comptable pour vérifier la cohérence entre l’objet social, les statuts et l’activité réelle. Même si on est tenté de dépenser moins, les erreurs peuvent se payer plus cher lorsqu’il faut tout corriger a posteriori. C’est aussi un gain de temps : au lieu de chercher pendant des jours quelles sont les mentions obligatoires à inclure, j’ai pu déléguer cette partie et me concentrer sur ce qui me passionne vraiment : développer l’activité et satisfaire mes clients.

Un détail auquel on ne pense pas toujours : le code APE. Ce code est attribué en fonction de l’activité principale déclarée. Si, d’un point de vue chiffre d’affaires, la vente click & collect devient majoritaire, il se peut que vous ayez à faire modifier votre code APE également. Ce n’est pas systématique, car il s’agit d’un code statistique, mais il est tout de même recommandé de vérifier la cohérence de vos activités déclarées avec votre code APE. J’ai un ami boulanger qui a dû changer de code APE lorsqu’il a basculé son activité vers la vente sur un site e-commerce de produits gourmets livrés partout en France. C’est une observation moins fréquente, mais qui mérite d’être anticipée.

Le coût et les délais : à quoi s’attendre

En général, on me demande : « combien de temps je dois bloquer pour tout régler ? ». Vous pouvez finaliser tout le processus en trois à six semaines, selon la réactivité du greffe et la complexité de vos statuts. Publier l’annonce légale peut être fait en quelques jours, mais il faut parfois patienter plus longtemps pour obtenir la validation du greffe et le retour du nouveau Kbis.

Niveau coût, il faut penser à :

Frais d’annonce légale. Comme mentionné, comptez autour de 150 € à 200 € selon la longueur et la zone géographique. Droits de greffe et frais administratifs. Ils tournent autour de 80 € à 100 € en moyenne, mais cela varie selon le greffe et la forme juridique de l’entreprise. Honoraires éventuels d’avocat ou d’expert-comptable. Cela peut monter à plusieurs centaines d’euros, c’est un choix qui dépend de votre besoin d’accompagnement.

Il se peut que vous trouviez des plateformes spécialisées qui automatisent ou simplifient les démarches de modification. Toutefois, restez vigilant à la qualité de service et à la conformité des documents produits. Mieux vaut payer un peu plus et être certain que tout est en ordre. Imaginez le stress si vous deviez courir après une erreur le jour où un contrôle ou un investisseur veut éplucher toute votre paperasse !

D’autres démarches possibles en parallèle

Quand vous décidez de franchir le pas, il peut être judicieux de vérifier d’autres points. Par exemple, en tant que propriétaire d’un local, j’ai remarqué que certaines mairies ou collectivités demandent à être informées lorsque le mode d’exploitation d’un commerce évolue (mise en place de points de retrait, changement de devanture, etc.). Il est donc bon de se renseigner si cette transformation nécessite aussi une déclaration auprès de la mairie.

Par ailleurs, il peut y avoir des contraintes d’assurance à anticiper. Si vous proposez du click & collect, la circulation de clients qui viennent récupérer leurs achats peut augmenter en boutique. Assurez-vous que votre responsabilité civile professionnelle couvre bien ce surcroît de fréquentation ou d’interaction. Généralement, les assureurs ne posent pas de problème, surtout si votre local était déjà accessible au public, mais il est toujours préférable de clarifier ce point afin d’éviter toute mauvaise surprise lors d’un sinistre.

Mon anecdote personnelle sur la gestion du Kbis

Avec Hub & Retail, j’ai commencé simplement : une enseigne physique, un blog pour partager mes idées, et surtout beaucoup d’énergie pour mettre en place des box découvertes à récupérer en boutique. Un jour, j’ai eu un coup de fil d’un partenaire bancaire me demandant pourquoi je n’avais pas mentionné la vente en ligne dans mon Kbis, alors que je colportais à tout le monde que j’avais un service de click & collect flambant neuf. Je m’en suis sortie en expliquant que c’était une simple extension de l’activité de vente, déjà comprise dans mon objet social. Heureusement, j’avais prévu une rédaction large de mes statuts dès le début. Depuis, je conseille tout le monde de se poser la question avant que les complications n’arrivent.

Cette anecdote m’a rappelé l’importance de la cohérence entre ce qu’on communique dans ses supports marketing et administratifs, et la réalité légale de l’entreprise. L’écart est souvent peu visible au démarrage, mais peut devenir un vrai obstacle à mesure que l’activité grandit. Heureusement, vous pouvez corriger le tir grâce à des modifications statutaires. Saisissez cette opportunité pour faire un bilan général de votre entreprise : c’est une manière de consolider les fondations, de gagner en crédibilité et de rassurer tous les interlocuteurs.

Faut-il toujours tout déclarer ? La balance entre flexibilité et conformité

On me demande parfois : « Mais si je compte juste tester le click & collect pendant quelques semaines, je dois revoir l’objet social ? ». La réponse dépendra du volume d’activité que vous envisagez. Pour un test ponctuel, avec un chiffre d’affaires dérisoire, vous pouvez estimer que cela ne justifie pas de mettre à jour le Kbis. Toutefois, si le test se transforme en une activité régulière et pérenne, il vaut mieux anticiper. Vous serez plus à l’aise dans les échanges avec vos partenaires (transporteurs, fournisseurs, plateformes de paiement) si vous pouvez prouver votre légitimité en montrant un Kbis conforme.

De plus, je remarque que dès lors que l’activité prend un minimum d’ampleur (promotions sur les réseaux sociaux, packaging dédié, mise en place d’un site e-commerce), il y a peu de chances qu’elle reste confidentielle. Les clients, l’administration et vos partenaires vont de plus en plus s’appuyer sur les informations présentes dans vos documents officiels pour reconnaître votre professionnalisme. C’est un peu le même réflexe que lorsque l’on vérifie la fiabilité d’une société via son numéro SIREN ou SIRET : tout doit concorder.

Les tendances futures : click & collect et croissance du digital

Les chiffres le montrent : le click & collect est loin d’être un phénomène de mode. Selon une étude récente, près de 85 % des enseignes de grande distribution proposent déjà ce service en France. Les boutiques de proximité s’y mettent aussi massivement, car cela tire leur activité vers le haut et répond aux attentes d’une clientèle pressée, ou soucieuse de limiter les frais de livraison. J’ai observé que l’aspect pratique et économique du click & collect séduit des cibles variées : familles, jeunes actifs, seniors recherchant du confort.

À l’avenir, le digital dépassera encore davantage les clivages entre commerce physique et commerce virtuel. Certaines enseignes déploient même des casiers ou des bornes interactives à l’entrée du magasin pour récupérer rapidement la commande ou pour effectuer des retours. Dès lors qu’on entre dans ce type d’environnement connecté, il me paraît évident que la déclaration officielle de l’activité devrait refléter cette réalité. Cela contribue à la réputation et à la cohérence globale de l’entreprise, deux ingrédients indispensables pour réussir sur un marché concurrentiel.

À retenir pour sécuriser et simplifier votre démarche

En définitive, faut-il modifier son Kbis pour ajouter une activité de click & collect ? Selon moi, vous devez vérifier avec précision ce que prévoient vos statuts, votre objet social et vos codes d’activité. S’il existe un décalage réel entre ce que vous déclarez officiellement et ce que vous vendez dans les faits, alors oui, la mise à jour s’impose. Ce petit effort administratif protège votre société, valorise votre image et assure la conformité de votre exploitation.

Dès que vous percevez une opportunité de croissance via le click & collect, prenez le temps d’analyser votre situation. Peut-être que votre objet social est déjà assez large pour englober ce nouveau service, auquel cas vous n’aurez aucune formalité particulière à engager. Sinon, n’attendez pas que la situation se complique : une simple démarche auprès du greffe, une annonce légale et quelques documents mis à jour vous éviteront bien des déboires. Pensez aussi à vérifier votre code APE pour coller au mieux à votre secteur d’activité principal.

Notre monde évolue vite, et le commerce tout autant. Plutôt que de voir ces formalités comme un frein, dites-vous que c’est une étape normale dans la vie d’un commerce qui s’adapte au digital. Je suis convaincue qu’avec la bonne organisation et en vous entourant d’experts, vous pourrez aborder cette mise à jour de Kbis le plus sereinement du monde, et vous concentrer sur l’essentiel : alimenter l’enthousiasme de vos clients et élargir sans cesse vos possibilités de vente. C’est une belle preuve de dynamisme entrepreneurial, et c’est exactement le genre de flexibilité que l’on recherche dans l’univers digital d’aujourd’hui. Alors, faites le point sur vos statuts, validez votre objet social et, au besoin, actualisez votre fiche d’identité. C’est un investissement sûr pour l’avenir de votre commerce.

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